Je voudrais attirer votre attention sur l'opportunité de contribuer à la consultation publique en ligne sur le projet de Plan d'action mondial (GAP) (Global Action Plan) sur l'émaciation nutritionelle des enfants. Veuillez noter que la date limite pour les contributions est le 9 février 2020 à 23 h 59 CET.
Le projet a été élaboré par la FAO, le HCR, l'UNICEF, le PAM et l'OMS pour développer une vision commune de ce qu'il faudra pour atteindre les cibles de l'AMS et des ODD en matière de réduction de l'émaciation, ainsi que des actions pour accroître la couverture des services de traitement. Le plan est d'avoir le GAP approuvé, ainsi que les actions immédiates des Nations Unies pour le soutenir, accessibles au public au début de mars 2020. Les discussions pour identifier les engagements et les actions des gouvernements et d'autres parties prenantes clés se poursuivront tout au long de 2020, dans le but de publier le plan d'action lors du Sommet de Tokyo sur la nutrition pour la croissance (N4G), qui se tiendra en décembre 2020.
Re-poster le lien car il y avait un problème pour certains avec le premier mail :
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4 années il y aLa lutte contre la malnutrition demeure un veritable fadeau pour les pays en dévéloppement. Dans la plupart des Pays en Développement, la multisectorialité a existé et existe toujours, mais le problème de malnutrition persiste. Dans cette multisectorialité, chaque structure cherche à remplir ses indicateurs personnels que de travailler pour l'amélioration du résultat commun. Le cas de plusieurs pays (Zone de Santé de Miabi, RD du Congo avec plusieurs partenaires pour 11% d'enfants malnutris, Cote d'Ivoire) est palpable.
Devant cette situation, nous préconisons l'intersectorialité où chaque structure agit en fonction des objectifs de l'autre afin d'atteindre le résultat commun pour le bien être de Tous.
Répondu:
4 années il y aLa malnutrition est une question d'urgence qui n'est pas si silencieuse à travers le monde. Malgré un nombre plus accru de programmes de développement de l'enfant à travers le monde, les progrès en matière de malnutrition sont encore limités. Le problème de la dénutrition chez les enfants est très préoccupant, présentant ainsi des obstacles pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD) ciblés d'ici 2025. Le taux élevé d'urbanisation pose un défi important à l'état nutritionnel des enfants, en particulier ceux qui vivent dans des bidonvilles urbains ou dans des quartiers pauvres. régions non enregistrées comme bidonvilles. Avec l'effet de l'urbanisation, il y a non seulement le problème de la dénutrition chez les citadins pauvres, mais coexiste également un problème émergent de surnutrition dans la même partie de la population, avec de graves implications sur la santé et le risque de maladies non transmissibles à l'âge adulte.
Une analyse de ralentissement de la croissance à l'échelle mondiale utilisant les normes de l'OMS souligne l'importance des interventions prénatales et en début de la vie pour éviter les échecs de croissance qui se produisent principalement au cours des deux premières années de la vie (Onis et al, 2006). Il est nécessaire de se concentrer sur la «période critique qui va de la conception à l'âge de 24 mois» pour cibler les interventions (Gragnolati et al, 2005; Black et al, 2008). Il a été proposé que des actions intensives opportunes se concentrent sur les groupes de population «à risque» de dénutrition tels que les femmes enceintes et les enfants de moins de 12 mois, par le biais du système de soins de santé primaires. Il a également été souligné que tout retard au-delà de la petite enfance peut être trop tard pour une prévention efficace de la sous-nutrition chez les enfants (Vir, 2001).
Bien que certains progrès aient été accomplis dans la réduction de la dénutrition des enfants, les efforts nationaux et régionaux pour améliorer la croissance des enfants doivent se poursuivre et ne doivent pas être éclipsés par d'autres problèmes croissants.
Répondu:
4 années il y a