Nous prévoyons de mener une évaluation d'impact d'un programme multisectoriel financé par l'UE pour réduire la malnutrition chronique et l'insécurité alimentaire au Mozambique. Le programme comprend un large éventail d'actions: agriculture, pisciculture, CCSC, jardinage domestique, soutien au marché, entre autres. Nous sommes à la recherche de conseils pratiques pour soutenir la conception de notre évaluation.

Salut!
Voici quelques liens intéressants :

Les défis pratiques associés à un travail avec des évaluateurs et des exécutants, et quelques réflexions méthodologiques, qui portent spécifiquement sur les évaluations sensibles à la nutrition :
[url] http://www.ifpri.org/publication/evaluating-nutrition-sensitive-programs-challenges-methods-and-opportunities [url]

Un revue de la recherche en ag-nutrition avec un objectif pratique, en conseillant notamment aux évaluateurs de ne pas mesurer l'impact sur le retard de croissance des enfants dans les interventions multisectorielles, sauf dans les plus complètes, et de se concentrer sur des indicateurs légèrement en amont tels que l'alimentation des enfants ou la maladie :
[url] http://www.ifpri.org/publication/nutrition-sensitive-agriculture-what-have-we-learned-and-where-do-we-go-here [url]

Un bon début ? Salutations, Jody
 

Jody Harris
Expert technique

Répondu:

il y a 6 années

Un outil pratique qui pourrait vous aider à vous rappeler des indicateurs clés - et comment rassembler les données nécessaires pour les informer - dans de multiples secteurs est l'IndiKit. Cet outil sert à informer les évaluations à la fois dans les contextes humanitaires et de développement. https://www.indikit.net/sector/1-food-security-and-nutrition

Heather Danton
Expert technique

Répondu:

il y a 6 années

Je suis en désaccord avec Jody ... et IFPRI. L'évaluation de l'impact implique l'évaluation des résultats finaux, c'est-à-dire l'état nutritionnel. Il existe des centaines, peut-être des milliers d'études évaluant différents indicateurs spécifiques qui rapportent positivement cetains éléments comme, par exemple, la diversité alimentaire, le respect des recommandations, les modèles de culture, l'adoption de pratiques, etc. ..lorsqu'il n'y a pas la moindre preuve que ce qu'ils font a un quelconque impact sur la nutrition. De telles évaluations opèrent sous un vaste réseau d'hypothèses causales qui ne pourront pas survivent à un examen critique. Mes 30 ans de documentation de l'état nutritionnel des enfants au Zimbabwe, pays voisin, m'enseignent qu'il n'y a pas d'autre solution que de faire des mesures directes - c'est-à-dire anthropométriques. Et idéalement assez fréquemment pour saisir la saisonnalité, les cycles d'approvisionnement alimentaire, etc., ainsi que les différences géographiques. Cette approche implique des coûts un peu plus élevés, une bonne formation du personnel et un suivi des opérations sur le terrain.

Dans votre évaluation, surtout dites à l'UE que la sécurité alimentaire ne garantit pas une nutrition améliorée ... certainement pas en Afrique australe.

Bill Kinsey

Répondu:

il y a 6 années
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