La loi BMS 2013 stipule que "dans le champ d'application de la sous-section (1), entre autres, il ne faut pas faire les choses suivantes tout particulièrement, notamment ... faire don ou de distribuer, dans les organisations ou les refuges qui s'engagent à sauver ou réduire les risques pour les enfants de moins de cinq ans ou les femmes enceintes ou qui viennent d'accoucher touchées ou menacés par une calamité naturelle telle que définie dans ... le Disaster Management Act Loi de 2012 sur la gestion des catastrophes, les substituts du lait maternel, les nourritures pour nourrissons, les aliments complémentaires commercialisés ou similaires "
Veuillez noter que les définitions utilisées en vertu de la loi BMS du Bangladesh diffèrent de celles utilisées par le Code :
• « substituts du lait maternel » : tout aliment pour nourrissons, pour un enfant jusqu'à l'âge de six mois, préparé, commercialisé ou encore présenté comme un remplacement partiel ou total du lait maternel.
• « aliments pour bébés » : tout aliment, pour un enfant de plus de six mois, préparé, commercialisé ou bien présenté comme un remplacement partiel ou total du lait maternel »
• « aliments complémentaires fabriqués commercialement »: tout aliment, sous quelque nom qu'Il soit, pour les besoins d'un enfant de six mois à cinq ans fabriqué, commercialisée avec des nutriments appropriés.
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Je demande des éclaircissements pour savoir :
1) Si la distribution ciblée des préparations pour nourrissons aux nourrissons dépendant du BMS, telle qu'établie par une évaluation individuelle effectuée par un personnel qualifié de santé ou de nutrition, serait considérée comme une violation de cette loi. (La Stratégie nationale de 2007 sur l'IYCF s'occupent de prodiguer des soins à ces enfants conformément aux directives de l'Ops)
Peut-on interpréter qu'il est interdit de faire don ou de distribuer les éléments ci-dessus dans les organisations qui répondent aux besoins d'urgence ou dans les abris de secours - mais cela ne signifie pas nécessairement qu'il soit interdit de fournir (de manière ciblée et responsable) les éléments mentionnés ci-dessus aux populations affectées par une crise ?
2) Quelles options seraient disponibles pour répondre aux besoins d'alimentation complémentaire dans le cas où des aliments complémentaires non commerciaux, c'est-à-dire faits sur place / produits localement, ne sont pas disponibles en raison de la situation d'urgence ?
Merci d'avance
Vous pouvez accéder au texte intégral ici : http://www.dpp.gov.bd/upload_file/gazettes/10838_82158.pdf